LAURENT MONTAGNER


MAGNÉTISEUR

RÉFLÉXOLOGIE PLANTAIRE

Faculté Libre de Médecine

Et Naturelle

d'ÉTHNOMÉDECINE

PRÉSENTATION

      Je suis né dans le Sud-Ouest de la France, dans le Gers, pays du bon vivre, de l'agriculture, du foie gras, de l’armagnac et patrie de d’Artagnan.

Bercé, nourri et élevé aux bons grains de la campagne gasconne.


      Tout se passe bien jusqu'à l’âge de 4 ans où frappé d’une grave maladie des reins, je suis hospitalisé d’urgence à l’hôpital des enfants de Bordeaux où j’ai été suivi par le professeur J-M Guillard, un homme extraordinaire.

Mais j’ai également eu cette chance d’avoir comme père Jacques Montagner, qui, dans un premier temps, sans le savoir m’a, je pense, permis de surmonter cette épreuve et de gagner face à la maladie.

J'oscillais entre la vie et la mort durant quelques mois puis, petit à petit et année après année, mes séjours à l’hôpital s’espaçaient. Jusqu’au jour où, un ami de mes parents leur conseilla de m’amener voir un Magnétiseur.

Et c’est ce jour là que mon père apprit par le magnétiseur qui me traitait, que lui aussi avait cette fabuleuse faculté de soulager, de guérir, tout simplement d’aimer l’autre.


      En ce qui me concerne, je me suis laissé porter par la vie à explorer divers horizons professionnels tout aussi passionnants et enrichissants les uns que les autres, jusqu’au jour où une amie me parle de son frère qui a de gros soucis avec un psoriasis qui lui pourrit la vie depuis plusieurs années.

Alors qu’à ce moment là de ma vie j’étais loin de vouloir faire le magnétiseur, je ne sais pas, je ne peux pas expliquer pourquoi ce jour là j’ai dit à cette amie: «Si ça ne t’ennuie pas, j’aimerais bien essayer quelque chose sur ton frère pour son psoriasis»

Elle lui en parla, il accepta d’essayer.

Je lui fis 3 séances rapprochées.

Il eut une réaction où son psoriasis sortit encore plus.

(Processus normal de guérison tout comme l’eczema).



Ensuite, après ces 3 premières séances, son psoriasis, après être sorti, a commencé à sécher jusqu'à disparaître complètement.


Ce jour là, j’ai pris conscience que ma vie allait changer.

      " Ayant eu des problemes de santé suite a la prise de retraite j' ai naturellement , et avec bonheur, fais appel à laurent MONTAGNER, fils de mon collégue Jacques décédé il y a quelques années.J'ai pratiqué le magnétisme professionnellement pendant de nombreuses années et je ressens les énergies qui sont dispensées par les bons magnétiseurs. Je dois dire que laurent a beaucoup développé ses facultés au cours des derniéres années..


      Opérée récemment d'un genou je ne pouvais plus marcher, les douleurs étant extrèmements fortes. Laurent était en déplacement, je n'ai pu bénéficier de ses soins que quelques jours aprés l'opération : Le jour meme où il m'a traité par imposition des mains l'amélioration a été spectaculaire, non seulement pour le genou mais aussi pour les vertiges provoqués par le traitement médicamenteux suivant l'opération, et mon sommeil s'en est trouvé amélioré par le meme coup. Je n'ai meme pas besoin de réeducation.


      Outre ses qualités de thérapeute je peux aussi témoigner de ses qualités morales. Sa bienveillance, sa générosité, son désir profond d'aider et de soigner, son intégrité, son humilité pas toujours de mise chez les thérapeutes font de lui quelqu'un de different et d' authentique..."


Merci à Colette Mesnage, d'avoir prit le temps d ouvrir une fenêtre sur cette profession fascinante, passionnante, naturelle, voire même parfois, inquiétante pour certaines personnes, mais ô combien efficace sur certaines pathologies.......

Le magnétisme possède 4 propriétés essentielles:


- Il rééquilibre le système nerveux

- Il revitalise l'organisme

- Il calme la douleur

- Il favorise la cicatrisation.



Le magnétisme est un soin qui vient en complément efficace de la médecine officielle. Il peut être appliqué complémentairement à d'autres thérapies, à condition de ne jamais cesser un traitement médical en cours, sans l'avis du médecin traitant.




Histoire du magnétisme


1/ Du premier au dernier recours


      Les guérisseurs furent souvent frappés d’interdiction d’exercer leurs savoirs, mais tout au long de l’histoire la nécessité de se soigner imposa la présence de ces praticiens de proximité, quel que fut leur degré de connaissance légale. De nombreux facteurs justifièrent le maillage empirique des guérisseurs qui, malgré les interdits et l’institutionnalisation de la médecine, parcoururent la France, particulièrement rurale, pour assurer les soins de la population.


Dans les campagnes, surtout, les guérisseurs ont toujours été présents; C'étaient ceux que l’on venait consulter en premier recours. D’abord parce qu’ils offraient un service de proximité – ils habitaient généralement le village ou la commune – et qu’ils soignaient aussi bien les humains que les animaux. Aussi parce que leurs actes coutaient moins cher que ceux des médecins – pas de tarif établi, plutôt des échanges de biens ou de services que le voisinage et la notion d’entraide communautaire permettaient.


De plus en milieu rural, les médecins étaient souvent très éloignés du domicile du malade. Avec l’avènement de la sécurité sociale, on ne les consulta plutôt qu’en dernier recours. La sécurité sociale dans le sens moderne du terme a été créée en Allemagne par Bismarck au 19e siècle. En France, depuis 1930, les assurances sociales offrent une protection contre les conséquences de la maladie, une indemnisation pour la maternité et un droit à la retraite.


En 1945, l’état français prit en main le système. Les progrès constant de la médecine et de la chirurgie, les moyens de dépistage mis en place avec des méthodes performantes ont conduit le public à s’adresser en premier lieu aux médecins……..et en dernier recours aux guérisseurs. Les médecines traditionnelles, dites populaires ou empiriques, furent reléguées à un niveau inférieur, modestes survivances des temps anciens.


Et pourtant ces autres médecines n’en sont pas moins le fruit de recherches et d’efforts d’individus qui voulurent – et veulent aujourd’hui encore – apporter un mieux-être à ceux qui souffrent. En France, les histoires souvent épiques des guérisseurs retracent bien la difficulté qu’ils ont à faire accepter le fait qu’ils pratiquent simplement une médecine complémentaire.


2/ 1776, MESMER découvre le magnétisme


      La représentation du guérisseur vivant modestement en milieu rural – souvent un agriculteur – prédomine dans l’imagerie populaire. Pourtant, les plus célèbres ont officié en ville. Parmi la cohorte des guérisseurs qui ont façonné l’histoire, nous n’en décrirons que deux, choisis pour la place importante qu’ils occupèrent dans cette liste, et aussi parce qu’ils sont issus de milieux sociaux très différents. L’un apprenti boucher, maitre Philippe de Lyon, l’autre, Franz Mesmer (1734-1815), médecin allemand aujourd’hui considéré comme le père du magnétisme humain. Dans sa thèse de doctorat (thèse physico-médicale sur l’influence des plantes, 1776) il jeta les bases de sa doctrine, qui souleva le plus vif enthousiasme et les plus véhémentes contestations et fonda la théorie du magnétisme animal, connue sous le nom de « Mesmérisme ». Selon Mesmer, «il existe une influence mutuelle entre les corps célestes, la terre et les corps animés, qui se transmet au moyen du fluide magnétique. Ce fluide, soumis a des lois mécaniques jusqu’alors inconnues, active l’organisme par le canal des nerfs ; il peut s’accumuler et se transmettre chez l’homme en utilisant divers procédés, comme les passes et les attouchements, ou à l’aide d’une baguette de fer. Par ces moyens, il est possible de guérir les maladies et tout aussi efficacement les maladies nerveuses.» C’est aussi vers 1772 qu’il développa cette thèse de l’existence d’une force capable d’exercer une influence sur l’organisme humain. Puis, en 1774, Mesmer rencontra à Vienne le père Hell, jésuite et professeur d’astrologie, qui guérissait les patients au moyen d’aimants. Mesmer utilisa cette technique des fers aimantés, qu’il abandonna vers 1775 pour l’imposition des mains. En 1778, Mesmer fut expulsé de la faculté de médecine de Vienne pour  « pratiques charlatanesques». A la suite de quoi il gagna Paris, ou il acquit une véritable popularité, et publia en février son premier Mémoire sur la découverte du magnétisme. Ouvrant un cabinet place Vendôme, il exerça de 1778 à 1785 et ses activités défrayèrent la chronique; il devint le protégé de Marie-Antoinette, qui le consulta. Même Alexandre Dumas parle de Mesmer dans le collier de la reine. Dans ce passage, le roi interroge la princesse de Lamballe :


- Vous me pardonnez, continua Louis XVI ; mais, ma cousine, je désire savoir la vérité.

- Vous la connaitrez en questionnant, sire, dit simplement Mme de Lamballe.

- Qu’allates-vous faire a Paris, ma cousine ?

- J’allais chez Mr Mesmer, place Vendôme, sire.

- Les deux témoins tressaillirent, le roi rougit d’émotion.

- Seule ? dit-il.

- Non, sire, avec Sa Majesté la reine.

- Le roi se frotta les mains.

- Et qu’a fait la reine en entrant ? dit-il.

- Sire, vous avez raison de dire en entrant, car, à peine étions-nous rentrées.

- Ensemble ?

- Oui, sire, ensemble ; et a peine étions-nous entrées dans le premier salon, ou nul n avait pu nous remarquer, Tant était grande l’attention donnée aux mystères magnétiques, qu’une femme s’approcha de Sa Majesté, lui offrit un masque, la suppliant de ne pas pousser plus avant.


      On considérait Mesmer avec une certaine suspicion, d’une part pour sa théorie sur l’existence d’un fluide universel – mystère magnétique – pouvant être canalisé et isolé a des fins thérapeutiques, et aussi parce qu’il proposait ses soins tout autant à la classe des bourgeois nantis qu’a celle des moins favorisés. Mesmer vécut dans une époque ou de grandes découvertes physiques bouleversaient le monde scientifique et sans aucun doute en prit-il connaissance. A Londres, au début du XVIIIe siècle, le physicien Stephen Gray étudiait l’électricité et fut un des premiers à constater l’existence de corps conducteurs. En France Charles Augustin de Coulomb défini les bases expérimentales et théoriques du magnétisme et de l’électrostatique en 1785. En Italie, a la fin des années 1780, Luigi Galvani, médecin et physicien, concluait a l’existence d’une électricité propre a l’animal. En 1780, la technique de Mesmer était acceptée par certains membres de la profession médicale, dont C D’Elson, un des régents de la faculté de médecine. Quoique traité de charlatan par certains scientifiques, il fonda en 1784 la société de l’harmonie pour enseigner le magnétisme animal. Des cette date, il eut de sérieux démêlés avec l’académie des sciences et la société royale de médecine. A la demande de Louis XVI, le gouvernement nomma deux commissions royales d’enquête – composées de médecins et de scientifiques -, chargées d’évaluer la rigueur scientifique du magnétisme animal. Les deux commissions condamnèrent le magnétisme animal. Dans le premier rapport de la commission, qui comprenait entre autre Lavoisier, Benjamin Franklin (alors ambassadeur des Etats-Unis en France), Bailly, Guillotin, on pouvait lire : «Ayant démontré par des expériences décisives que l’imagination sans magnétisme produit des convulsions, et que le magnétisme sans imagination ne produit rien, concluons d’une voix unanime que […] rien ne prouve. L’existence du fluide magnétique animal, que ce fluide sans existence est par conséquent sans utilité. »


      Le second rapport, secret, de la commission expliquait : «Ce sont toujours les hommes qui magnétises les femmes. Les relations établies ne sont, sans doute alors, que celle d’un malade à l’égard de son médecin, mais ce médecin est un homme. Quel que soit l’état des malades, il ne nous dépouille pas de notre sexe […] D’ailleurs la plupart des femmes qui vont au magnétisme ne sont pas réellement malades ; beaucoup y vont par oisiveté et désoeuvrement, d’autres qui ont quelques incommodités, n’en conservent pas moins leur fraicheur et leur force. Leurs sens sont tout entiers, leur jeunesse a toute sa sensibilité. Alors le danger est réciproque. La proximité longtemps continuée, l’attouchement indispensable, la chaleur individuelle communiquée, les regards confondus sont les voies connues de la nature pour opérer immanquablement la communication des sensations et des affections. «L homme qui magnétise a ordinairement les genoux de la malade renfermés dans les siens […] La main est appliquée sur les hypocondres et quelquefois plus bas sur les ovaires […] Il passe la main droite derrière le corps de la femme. L’un et l’autre se penchent pour favoriser ce double attouchement. La proximité devient plus grande, le visage touche le visage, les haleines se respirent […] Il n est pas extraordinaire que les sens s’allument […] Le visage s’enflamme par degrés, l’œil devient ardent, et c’est le signal par lequel la nature annonce le désir, les paupières deviennent humides, la respiration est courte, entrecoupée, la poitrine s’élève et s’abaisse rapidement. Les convulsions s’établissent […] Le souvenir n’en est pas désagréable, et les femmes n’ont pas de répugnance à le sentir à nouveau. «[…] Ainsi, en se proposant de guérir, on excite des émotions agréables et chères, des émotions que l’ont regrette parce qu’elles ont un charme naturel pour nous et que, physiquement, elles contribuent à notre bonheur. «mais moralement, elles ne sont pas moins condamnables, et elles sont d’autant plus dangereuses qu’il est facile d’en prendre la douce habitude.» La société puritaine de l’époque fut choquée de la proximité entre le thérapeute et ses patients, redoutant d’éventuels travers « sexuel » des mesmériens…le discrédit qui s’en suivit signa la fin de l’âge d’or du Mesmérisme. Après le verdict des commissions, Mesmer quitta la France en 1784 pour l’Angleterre, puis l’Autriche, avant de s’installer en 1793 à Frauenfeld, en Suisse ; il y poursuivit ses recherches, qui aboutirent en 1799 à la publication d’un deuxième mémoire sur ses découvertes. Il décéda le 15 mars 1815, sur les bords du lac de Constance. Mesmer n’en continua pas moins à étonner les érudits, tel l’écrivain Stefan Zweig, qui, en 1931 lui consacrera une grande part – au coté de Freud et de mary Baker Eddy – de son livre La guérison de l’esprit. Il reste célèbre pour avoir été le premier à essayer d’expliquer les effets de l’imposition des mains par l’existence d’un fluide animal.


Le magnétisme, une force vitale


 

      L’art du magnétiseur (à l’instar de la plupart des guérisseurs) consiste à rétablir la santé en canalisant l’énergie curative par l’imposition des mains, pratique de guérison qui remonte à l’aube de l’humanité sans doute bien avant la rédaction du texte de papyrus d’Ebers. Cette pratique est simple : elle implique la concentration et la modulation conscientes d’énergies que tous les humains ont naturellement. La qualité de la communication entre le guérisseur et le patient est essentielle tout comme le sont la réceptivité et la volonté de guérir de ce dernier. Cette énergie – le magnétisme – existe dans tous les être vivants, de la conception à la mort, et c’est cette force vitale qui non seulement préserve notre santé, mais nous aide à guérir si nous sommes blessés ou malades. En 1959 , Bernard Grad, chercheur biologiste à l’université de McGill, à Montréal, parvint à la conclusion que les guérisons ne sont pas dues à la suggestion, mais à une « interaction bioénergétique » entre le praticien et son patient. Il parvint à mettre en évidence l’existence de ce magnétisme en prenant comme cobayes non pas des humains trop sensibles à l’autosuggestion, mais des souris. Pour les besoins de son expérience, il s’adjoignit les services d’un magnétiseur d’origine hongroise : Oskar Estebany. L’expérience consistait à comparer la vitesse de guérison d’une blessure, volontairement occasionnée à quarante-huit souris blanches auxquelles on avait ôté un morceau de peaux. Ces quarante-huit souris furent réparties en trois groupes : Dans le premier considéré comme groupe témoin, la cicatrisation devait se faire naturellement. Le deuxième groupe reçu l’imposition des mains du magnétiseur, à raison de quinze minutes, deux fois par jour, sans toucher les animaux. Le troisième groupe fut soumis à une source de chaleur dégageant la même quantité de calories que la paume de la main humaine. Les résultats furent spectaculaires puisque, au quatorzième jour de l’expérimentation, constat fut fait que la cicatrisation avait évolué de façon différente selon les groupes. Pour le groupe témoin : Quatre souris avaient leur blessure cicatrisée ; elles étaient onze dans le groupe magnétisé par le magnétiseur, et six dans le groupe soumis à la chaleur. Le Dr Grad renouvela son étude ensuite à l’université du Manitoba et obtint des résultats tout aussi significatifs. Pour lui, ces expériences établissent clairement l’existence d’une énergie qui se transfère d’un magnétiseur vers un récepteur (humain ou animal), une énergie qui a la capacité d’agir sur la reconstitution des cellules vivantes. «  Des expériences nous ont montré que les mains des magnétiseurs ‘’reconnu’’, ainsi que des hommes atteignant le même seuil de sensibilité, produisent les mêmes effets qu’un petit aimant. Nous en déduisons que l’organisme de ces personnes bénéficient d’un supplément de magnétite, qui serait aussi logée dans les articulations de leurs doigts, à la différence de la majorité de la population », notait de son coté le physicien Yves Rocard, dans un ouvrage consacré aux sourciers. Quand à savoir pourquoi certains individus possèdent un magnétisme supérieur, on se perd encore en conjectures. D’après le Pr Rocard, cette capacité de l’homme remonterait aux temps préhistoriques. D’après lui, on peut estimer que les hommes des cavernes, vivant en contact direct avec la nature, ont été magnétisés par des éclairs d’orage qui les auraient saturés magnétiquement. Ce potentiel énergétique se serait alors transmis de génération en génération en s’émoussant au cours des millénaires et seuls aujourd’hui quelques individus auraient conservés cette surcharge magnétique, parmi eux les magnétiseurs. L’hypothèse est amusante, rien ne prouve qu’elle soit fondée. Pour d’autres physiciens notre corps émet naturellement des ondes énergétiques qu’on a pu photographier. D’aucun se demanderont pourquoi un physicien à la réputation établie comme le Pr Rocard se risque dans le domaine hasardeux du magnétisme. Voici sa réponse : « Il y a trente ans, quand j’ai commencé a m’intéresser aux sourciers qui sont, en fait, des radiesthésistes, et aux magnétiseurs, mes collègues scientifiques pensaient que la sénescence me gagnait. Les magnétiseurs et les radiesthésistes existent parce qu’ils obtiennent des résultats incontestables. Ils existeront aussi longtemps qu’ils continueront à obtenir des résultats. »


Comment définir le magnétisme


      L’électromagnétisme est un phénomène parfaitement connu des physiciens. Les forces électromagnétiques sont partout, ce sont elles qui induisent les champs gravitationnels qui règlent la marche des planètes mais aussi celle des électrons. Aucun objet spatial, du plus grand au plus petit, n’échappe à la loi attraction/répulsion, principe de base de l’électromagnétisme. En outre, l’homme en découvrant il y a prés de trois mille ans les aimants naturels, posa – certes de manière empirique et approximative – les lois fondamentales de l’électromagnétisme. Les Grecs connaissaient les aimants naturels. Il s’agissait de minéraux qu’ils trouvaient dans la région de Magnésie et dont le constituant principal était la magnétite, Fe3 O4 (oxyde de fer). On sait aujourd’hui que la magnétite est présente sous forme d’oligo-éléments chez tous les êtres vivants, y compris les plantes. Lucrèce a décrit dans son De natura rerum les propriétés attractives et répulsives des aimants, et Pline l’Ancien attachait à leurs effets une croyance superstitieuse, d’origine divine, et pensait qu’il pouvait guérir. Yves Rocard qui fut directeur du laboratoire de physique à l’école normale, précise de son coté : «  Peu de scientifiques savent que les cellules de l’être humain renferment des cristaux de magnétite, ce qui a été mis en évidence par deux biologistes américains, les Drs Gould et Kirschvink . J’ai moi-même rencontré Gould et Kirschvink et pris connaissance de leurs travaux. Leur découverte est stupéfiante : Ils ont trouvé dans le cerveau et le cou des pigeons, dans la tête des baleines, des orques, des dauphins, mais aussi sur le ventre des abeilles et de la plupart des insectes, des petits cristaux de magnétite et de silicium qui valent chacun un dixiéme de microcube. Quand à l’homme le biologiste anglais Baker a identifié chez lui, en disséquant des cadavres et en les réduisant en cendres, des petits amas de magnétite. Il a même réussi à les localiser, chez l’homme, dans les arcades sourcilières et les articulations. Ces découvertes sont indiscutables. Elles ont été faites par de vrais biologistes avec de vrais microscopes. » De son coté, le Pr Léon Derobert (professeur agrégé à la faculté de médecine, médecin inspecteur adjoint de l’institut médico-légal, médecin auprès des tribunaux) écrivait dans un rapport du 11 mai 1956 : « Le magnétisme est un agent physique, d’une espèce particulière, source de vie des organes et des cellules, et peut être transmis à ceux qui sont malades par l’intermédiaire d’un magnétiseur qui en est surcharché. Le magnétiseur joue alors le rôle d’accumulateur, le fluide passant au travers de ses mains et de ses doigts, et pénètre dans l’organisme du malade, comme pénètre les courants électriques, les rayons X, les radiations lumineuses, les ultrasons. Le magnétisme est en effet une thérapeutique particulière qui met en œuvre des passes magnétiques le long de l’organisme, des impositions localisées. » Dans un autre rapport du 17 mai 1957 il indique : « Le principe thérapeutique magnétique consiste à faire pénétrer dans des organismes ¨dévitalisés ¨ ou en déséquilibre magnétique un fluide doué de propriétés vitales et magnétique. […] Seul un magnétiseur, c’est-a-dire celui dont l’organisme est doté d’une surabondance fluidique, est capable ‘’d’en dispenser’’ une partie à ses sujets dont les troubles pathologiques résultent, selon le principe magnétique, d’une baisse de potentiel fluidique. […] Ainsi donc le magnétiseur fait appel à un agent thérapeutique d’un type particulier qui s’apparente aux agents physiques thérapeutiques tels les rayons X, les isopodes radioactifs, l’électricité, les ondes lumineuses et les ondes sonores. […] Il s’agit d’un agent thérapeutique puisque la pénétration de ce fluide dans l’organisme fait disparaître les troubles. […] On doit entendre en effet, sous le vocable ‘’thérapeutique’’ l’ensemble des manœuvres ayant pour objet d’améliorer un état pathologique ou même de le guérir. » Des déclarations du Pr Derobert, mon père, Jacques Montagner dit : « J’adhère à 100% à cette explication du magnétiseur. C’est ce que j’ai toujours pensé et ressenti. » Le Pr Rocard rencontra aussi mon père, en 1986, et étudia la valeur du champ magnétique provoqué par la magnétite que contenaient ses mains, à l’aide d’un magnétomètre à protons. « Ce cas me déconcerte car il ne correspond pas à d’autres que j’ai déjà pu étudier, déclara t-il. Il y a bien de la magnétite dans les mains de Jacques Montagner, car lorsqu’il colle ses mains à l’horizontale sur la sonde, il fait baisser le champ magnétique terrestre de 1,5 gamma, valeur qui m’apparaît significative. »

Extraits du livre de Françoise Perriot et Rémy michel avec la collaboration de Jacques Montagner
Enquêtes sur les guérisons parallèles

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Chaque séance peut durer entre 30 et 45 minutes suivant la spécificité de votre pathologie.



Attention :


   Le magnétisme soigne très bien les maladies de peau,les douleurs ...

Mais en aucun cas certaines maladies graves, comme le Cancer. (Néanmoins le magnétisme peut aider à supporter les effets secondaires de différents traitements).